Salaire Vérité
SALAIRE VERITE DE QUOI S'AGIT-IL ? De modifier la présentation des bulletins de paie pour dire la vérité aux salariés sur : 1°) Le coût réel total de la protection sociale qui est prélevé actuellement de façon fractionnée en leur faisant croire, à tort, que : - 35 % est payé par le salarié, - 65 % sont payés par le patron. 2°) Le fait que les cotisations dites patronales versées par l'entreprise sont bien évidemment la propriété incontournable du salarié. (versées sur bordereaux nominatifs aux organismes). 3°) Le fait que le système actuel les oblige légalement à consacrer : - 43 % de leur salaire à leur protection sociale, et qu'il ne leur reste que : - 57 % de pouvoir d'achat réel disponible. LE BULLETIN DE PAIE VERITE Proposition de simplification du bulletin de salaire et de clarification du Coût de la protection sociale Cette proposition se situe uniquement sur le plan du bon sens élémentaire de la simplicité et de la recherche de la vérité donc de "l'éthique et de la morale" à l'exclusion de toute considération politique ou financière. Elle n'a notamment aucune incidence sur :le coût du salaire payé par l'entreprise,
le salaire net perçu par le salarié,
les ressources des différentes caisses de protection sociale.
Personne ne perd 1 centime d’euro. Le bulletin de paie actuel donne une présentation fallacieuse de la réalité Plus de 25 millions de bulletins de salaires fallacieux sont distribués tous les mois aux salariés depuis plus de 50 ans. Leur présentation définie par des textes de loi précis fait apparaître les différentes cotisations sociales (maladie, vieillesse, accident, retraite, ASSEDIC, etc.…) en distinguant la part salariale et la part patronale, faisant croire à tord à tous les salariés Français que leur protection sociale totale est relativement indolore puisqu’il ne leur coûte que 28 % de leur salaire net alors que LA VERITE est que le coût total de la protection sociale est de 83 % du salaire net perçu. 1ere REFLEXION Les taux de répartition salarié-patron sont arbitraires Les taux de répartition sont, par exemple : Pour les cotisations vieillesse : Cotisation patronales : 8.30 % Cotisation salariales : 6.55 % -------- Total 14.85 % Ces taux sont totalement arbitraires. En effet, on peut les faire varier indifféremment, par exemple : 1 % salarié, 99 % patron, ou l’inverse, et rien ne change, soit : 14.70 % cotisations patronales 0.15 % patronales ou bien 14.85 % patron 0.15 % cotisations salariales 14.70 % salariales 0.00 % salarié -------- --------- ---------- Total 14.85 % 14.85 % 14.85 % Le coût pour l’entreprise reste identique Les ressources des différentes caisses sont inchangées Le salaire net au centime près reste le même On peut donc fusionner les deux colonnes et supprimer la distinction cotisations patronales-cotisations salariales sans aucune conséquence pécuniaire pour les intéressés. 2eme REFLEXION Les cotisations dites patronales appartiennent aux salariés. Les sommes versées par l’entreprise aux différentes caisses sous la désignation arbitraire de cotisations patronales appartiennent aux salariés dès l’émission du bulletin de salaire puisqu’elles sont versées sur bordereaux nominatifs aux URSSAF et autres organismes collecteurs. Le salaire pourrait être versé intégralement aux salariés a charge pour eux de verser les cotisations correspondantes aux différentes caisses, ce qui aurait un effet de responsabilisation forte. Ces deux réflexions permettent d’établir que la présentation du bulletin de paie VERITE devrait être tel que ci-joint. Le salaire inclurait les cotisations dites patronales, argent qui appartient bien aux salariés. Il ne comporterait qu’une seule colonne pour les cotisation sociales et ferait apparaître le coût total exorbitant des différentes couvertures sociales. Le bulletin de salaire VERITE est explosif La juxtaposition des trois sommes : le salaire 2 996 € 100 % les cotisations sociales 1 433 € 43 % le salaire net 1 562 € 57 % Il est insupportable ! ! ! Il résultera de cette opération VERITE : La prise de conscience du coût exorbitant de la protection sociale résultant du gaspillage phénoménal de la gestion monopolistique, Et le désir légitime de rechercher auprès d’organismes privés en concurrence un moindre coût pour couvrir ces risques. Bien sûr, les parlementaires pourront continuer de définir un seuil de solidarité obligatoire. Ce bulletin de paie VERITE fait aussi apparaître de façon percutante l’obligation légale faite à tous les salariés dans notre système étatique monopolistique de consacrer 43 % du pouvoir d’achat distribué par l’entreprise à leur protection sociale. Il ne leur reste que 57 % du pouvoir d’achat distribué disponible Pour la vie de tous les jours, Pour irriguer l’économie Et pour payer la TVA au taux de 19.60 %. Il ne reste donc au salarié qu’un pouvoir d’achat net hors TVA de 47.60 % du salaire ! ! ! Alors que l’entreprise qui l’emploie a décaissé 100 %, ce qui constitue un surcoût handicapant dans le contexte extrêmement concurrentiel de l’économie mondiale. EFFETS IMMEDIATS Cette présentation VERITE du bulletin de salaire aura pour effet immédiat :
une prise de conscience des salariés du coût exorbitant de leur protection sociale 83 % du salaire net perçu
une demande légitime forte de réduction de ce coût en mettant en compétition la sécurité sociale actuelle avec les compagnies privées et autorégulation de la surconsommation médicale,
le retrait du patronat de la gestion paritaire donc sa suppression. Les salariés décident seuls du niveau de la protection sociale et de la gestion de la sécurité sociale, le seuil de solidarité restant fixé par les parlementaires
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