Rendez-nous la liberté !
Rendez-nous la liberté !
La France est un des pays les plus corsetés, les plus sclérosés du monde. Les Droits naturels, liberté, propriété, personnalité, sont mis à mal par
483 impôts, prélèvements, taxes, et par 78 codes.
Leur objectif n’est pas de financer, ou d’organiser, des services utiles à la population.
Il est l’achat de voix.
Il est de modifier les comportements des gens dans le sens souhaité par les politiciens.
Le
libre arbitre disparaît. Les individus sont contrôlés.
Non pas « contrôlés » au sens « surveillés ». Depuis l’arrivée massive du numérique c’est déjà fait, avec des moyens multiples, peut coûteux, sans que les gens s’en rendent compte.
Mais « contrôlés » au sens « maîtrisés », « dominés », « soumis à une volonté extérieure ». Comme un pilote contrôle son avion, son drone. Les individus sont chosifiés, leur personnalité est niée.
L’exemple le plus flagrant est le QR code, moyen grâce auquel les politiciens peuvent contrôler les comportements individuels, obliger ou interdire de faire telle ou telle chose. Le QR code a été mis en œuvre par l’Autorité Centrale dans le cadre des mesures de coercition sociale au prétexte des COVID. Gageons qu’après ce succès il est appelé à un grand avenir.
La peur
Impôts, prélèvements, taxes, codes, ne suffisaient pas aux politiciens. Désormais ils utilisent la peur pour modifier le comportement des gens et les soumettre à leurs caprices.
Peur de la maladie. Nous venons, au prétexte des COVID, de vivre des mesures liberticides d’enfermement et de coercition sociale, impensables auparavant, imposées par le gouvernement secondé par un Politburo, dans un pays prétendu démocratique et libre. Ces mesures ont été validées par une Assemblée de godillots et des instances judiciaires à la botte. Le contrôle du comportement s’est insinué dans les détails les plus insignifiants de la vie. Par exemple en interdisant de consommer debout dans les bars. Il s’est insinué jusqu’à l’intérieur des maisons. Par exemple en incitant, lors des repas de famille, à faire manger les personnes âgées sur une table, voire dans une pièce séparée. Le scientisme à la Lyssenko remplaçait le bon sens. Les dégâts de l’oppression par l’Autorité centrale ont été
bien plus graves, y compris termes de vies humaines, que ceux découlant des épidémies elles mêmes.
Peur de la fin du monde. Nous trouvons là la doxa du « dérèglement » climatique, néfaste et anthropique, ainsi que de la dite « sixième extinction de masse ». Sous ces prétextes, l’État utilise l’écologie punitive liberticide, qui ne fait pas mystère de son désir de modifier les comportements individuels. Le but est d’induire « un comportement responsable » et « sauver la planète ». Pour cela les Français subiront la fameuse « transition énergétique », et le « développement durable ». Ces malheureux Français paieront la facture en terme de pouvoir d’achat et de libertés, comme toujours, mais aussi de santé. Il n’y a pas de système de santé performant sans énergie abondante et bon marché.
Peur de la guerre. Alléguant de la guerre en Ukraine, agitant le spectre de l’invasion russe, le gouvernement a pris des sanctions contre les Français, pour paraît-il «
provoquer l’effondrement de l’économie Russe ». La Russie va bien, merci pour elle. La France va mal. Les conséquences des sanctions, l’augmentation des prix et le rationnement, appelé pudiquement « plan de sobriété énergétique », sont les plus visibles et les plus immédiates. Ces conséquences s’ajoutent au mal investissement gigantesque engendré par les décisions ignobles de l’État au prétexte des COVID, et au mal investissement vert. Ces mal investissements ont confisqué et confisquent des sommes colossales au détriment de secteurs vitaux pour la France. Tout cela survient sur une économie française déjà en lambeaux.
L’économie française est en ruine, la dette et les déficits sont sans fond. Pour les politiciens, qui vivent dans leur monde magique, c’est la fuite en avant dans les
dépenses et l’achat de voix. Bien des Français sont restés traumatisés par ce qu’ils ont vécu ces deux dernières années. Ils sont en mauvaise santé physique et psychologiques. Ils sont plus divisés que jamais et leur misère s’accroît.
La fin de la liberté d'expression
Cette politique délétère, délibérée implique une propagande incessante et sans contradiction pour contrôler totalement les populations. C'est le règne de l'idéologie et des doxas. Il y a la doxa du COVID, la doxa du dérèglement climatique, la doxa de la guerre en Ukraine. Nous n'oublierons pas le wokisme, l'Union Européenne et l'étatisme qui ont eux aussi leur doxa.
Les opposants n'ont pas droit à la parole. Ils sont discrédités par des anathèmes et le débat leur est refusé. Le
débat est interdit.
La gestion politique des COVID est une grande avancée dans le totalitarisme. Les personnes qui contestent la version officielle ne sont pas invitées à s'exprimer, sont dénigrées, brimées. Des articles, des vidéos sont rendus inaccessibles au prétexte de diffuser des informations non validées (C'est à dire non conformes à la doxa) La censure et a été aggravée avec la guerre en Ukraine. Des chaînes de télévisions, Sputnick, RT France, des médias ont été interdits au prétexte que, "pro Russes", ils pourraient diffuser de fausses informations.
En vérité il s'agit surtout d'interdire d'apporter la contradiction et la preuve que la diffusion de fausses informations est le quotidien des services officiels et des médias autorisés.
Il est plus que temps que les Français retrouvent la liberté économique, la liberté d’expression, la liberté de mener à bien leur projet vie, cela dans une atmosphère sereine grâce à la sécurité des biens et des personnes. Il est plus que temps que l’État se concentre sans faiblesse sur ses fonctions régaliennes sécurité intérieure et extérieure, justice, souveraineté en politique intérieure et extérieure, qui sont en déshérences aujourd’hui. Là aussi les Français paient la facture. Parfois de leur vie.
Rendez-nous la liberté
« Rendez-nous la liberté ! » est le thème du 11ème
Weekend de la Liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat. Après deux ans d’interruption
il revient ! Il aura lieu du 23 au 25 septembre à Saint Paul-lès-Dax, hôtel Sourcéo. Pour
découvrir et s’inscrire :
Ceux qui veulent réserver une chambre sur place, à l’hôtel Sourcéo, doivent s’adresser exclusivement à :
commercialsourceo@thermesadour.com, 05 58 90 66 99.
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Article paru sur
Contrepoints en version courte.
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