Par : Julie Lioré, anthropologue, pour le collectif REINFOCOVID
À Retenir
- De nombreux effets secondaires, graves pour certains, ont été déclarés lors des essais des vaccins Covid sur les enfants de 6 mois à 5 ans.
- Les essais cliniques sur les enfants de 6 mois à 5 ans n’ont pas été conduits dans des conditions correctes.
- Le niveau de risque de ces vaccins est élevé, pour un bénéfice moindre. La balance bénéfice/risque est négative.
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La FDA,
Food and Drug Administration (administration américaine des denrées et des médicaments) a approuvé, le 15 juin dernier (2022), l’autorisation d’
injecter les bébés de plus de 6 mois et les enfants de moins de 5 ans contre la Covid, une maladie qui ne les concerne pas [1]. Il n’y a pas eu, pour cette population, de forme sévère. Pourtant, l’essai clinique a déjà révélé 1 effet secondaire grave sur 200 enfants « test » au cours des 28 jours après l’injection. Des bébés et des enfants de cet essai ont rapidement souffert d’infection respiratoire, de Covid sévère voire de Covid multiples (plusieurs d’affilée), de fièvre ou de convulsions, de douleurs thoraciques (ou cardiaques ?), de diabète de type 1, d’épilepsie jusqu’au choc anaphylactique. Tous les effets secondaires n’ont pas été mentionnés, puisque des enfants ont été exclus des tests en cours. Ce sont là, imprimées noir sur blanc, les données officielles du dossier d’approbation [2, 3, 4, 5, 6].
Cette administration avait pourtant et jusqu’alors un principe : un produit pharmaceutique à l’essai devait présenter une efficacité supérieure à 50 % pour être approuvé et mis sur le marché. De cette règle, comme de la déontologie et de l’éthique, les plus jeunes, les plus vulnérables ont été dispensés. Quant au paramètre sur lequel a été fondée l’efficacité de cette injection, il est tout bonnement invalide, tandis que le groupe témoins a disparu. Ainsi, les effets indésirables à venir d’un groupe test ne pourront plus être comparés à ceux d’un groupe placébo. Il y a là une imposture méthodologique, pour ne pas parler de fraude, dont les auteurs ne se cachent plus, et
le niveau de risque est dans le rouge, sans que ça ne les inquiète le moins du monde. Les aînés de ces nouveaux nés, qu’ils soient adolescents ou jeunes adultes, ont avant eux, pour beaucoup, souffert d’effets secondaires graves, certains en sont morts, quoi qu’en dise la censure. Serait-ce maintenant
le tour des enfants ? Pour un bénéfice tout aussi inexistant ?
Peu importe les bénéfices, encore moins les risques encourus, ils ont simplement décidé qu’il fallait « vacciner » les plus petits.
Ils ont franchi la ligne rouge et touché au sacré. Ils s’attaquent non seulement à des systèmes immunitaires immatures, que l’orfèvrerie du corps humain a pourtant bien en main. Injectés, les bébés et les jeunes enfants verront le leur déjà altéré. En plus, ces injections sont des outils génétiques dont le potentiel sur le long terme est totalement inconnu.
Si les autorités médicales américaines, bientôt européennes, ont failli à leur mission de régulation, il est urgent que les parents jouent leur
rôle, majeur, celui de protéger leurs enfants, qui ne peuvent consentir par eux-mêmes. Ce consentement doit être celui des parents et éclairé par des sources d’informations fiables, et non basées sur celles prémâchées par les services marketing des grands laboratoires pharmaceutiques, régurgitées par les médias
mainstream.
Ils s’en prennent à nos enfants, un acte qui semble sonner l’heure d’enfin toucher le fond. Sonnons celle de la préservation de notre humanité.
Références
[1]
https://reinfocovid.fr/science/covid-19-vacciner-les-enfants-est-ce-bien-ethique/
[2]
https://crowdbunker.com/v/t3KATQx5 (14min)
[3]
https://drive.google.com/file/d/1KVVuqgEtiqFRltWKh0EWPhV14TXSQev1/view?usp=sharing
[4]
https://www.covid-factuel.fr/2022/06/24/vaccinons-nos-enfants/
[5]
https://www.fda.gov/media/159157/download
[6]
https://www.fda.gov/media/159195/download
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