Changer Bercy pour changer la France
Si vous êtes pressé l’essentiel de « changer Bercy pour changer la France »tient en quelques lignes :
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• La croissance des inégalités dont ne cessent de parler les médias est le fruit d’une myopie volontaire : ceux dont le patrimoine croît en effet beaucoup plus vite que la moyenne, le 1%, 0,1% ou 0,01% des plus hauts revenus ou des plus riches, ne sont pas ceux qui profitent de la croissance mais ceux qui la font. 90% des milliardaires américains avaient des grands parents pauvres ou pas riches ; leur fortune est le résultat des entreprises qu’eux ou leurs parents ont créées en enrichissant tous leurs compatriotes.
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Le chômage français est l’enfant de Bercy dont seulement 2% des hauts fonctionnaires sont passés par une entreprise et 45% sortent de l’ENA. Ils ont systématiquement bloqué tous les efforts faits pour développer de vraies entreprises et les « gazelles ».
• Trop nombreux, leur principale préoccupation est de se trouver un boulot et la multiplication des interventions étatiques, notamment la redistribution au nom de la lutte contre les inégalités, est pour eux du pain béni.
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• La lutte contre les inégalités paralyse aussi notre personnel politique : elle l’empêche de voter les lois qui encourageraient les riches à devenir plus riches en investissant dans des créations d’entreprise mais elle réussit à généraliser le chômage et la misère. Un succès.
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INTRODUCTION.
La lutte contre les inégalités est devenue une fixation tant pour les médias que pour les politiciens : elle a été sacralisée par les Républicains comme un enjeu essentiel de la campagne américaine présidentielle 2016 ; elle est même reprise par le Pape dans ses discours.
Il s’agit d’un remarquable succès des égalitaristes en tête desquels il faut placer Thomas Piketty qui, inlassablement, en a fait depuis sa sortie de Normale Sup, le thème central de ses travaux.
Il a remarquablement réussi comme ont réussi les militants du réchauffement climatique ou ceux qui luttent contre toutes les formes de progrès, que ce soit les OGM ou le gaz de schiste.
Ces victoires sont étroitement associées au développement de ce qu’un site américain appelait la « junk science », la science camelote, consistant à présenter sous des dehors scientifiques ce qui ne sont le plus souvent que des affabulations.
On ne peut résister à citer un passage d’une publication d’un think-tank américain, « Capital Research Center »
« Au printemps dernier, le Dr Johannes Bohannon et une équipe de scientifiques allemands ont découvert que les personnes mises sur régimes à faible teneur en glucides pourraient perdre du poids plus rapidement si elles mangeaient une barre de chocolat chaque jour.
Les rédactions du monde entier ont répondu avec empressement aux conclusions de Bohannon. "Excellentes Nouvelles: le chocolat peut vous aider à perdre du poids" a déclaré le Huffington Post Indes. Le Daily Mail du Royaume-Uni a explosé dans un titre, "Passez l'oeuf de Pâques! Une nouvelle étude révèle que la consommation de chocolat ne va pas affecter votre indice de masse corporelle ... et peut même vous aider à perdre du poids! "
Aux États-Unis, Modern Healthcare a conseillé: "Un régime amaigrissant? Ne pas oublier le chocolat. » Le rapport a fait le tour du monde, avec la nouvelle de cette découverte sucrée sautant d’internet dans les médias écrits et la télévision. Le journal au plus fort tirage d’Europe, Bild, a obtenu dans l'action, la publication d'un rapport intitulé "Maigrir par le chocolat!"
Les journalistes et les lecteurs sont passés au-dessus des détails trop-bons-pour-être-vrais de la découverte et ont dévoré le gros de l'histoire.
Comme vous l'aurez deviné, la recherche de Bohannon était un canular.
Le chocolat n’est pas la clé de la perte de poids
L'étude de santé a été fabriquée; elle était un test de l'hypothèse que les scientifiques et les journalistes détectent rarement une science camelote.
Personne n’a vu la tromperie.
"Notre objectif n’était pas de montrer que les journalistes pourraient être trompés par les faussaires, mais plutôt que les scientifiques eux-mêmes, dans ce domaine et d'autres domaines, font les types d'erreurs que nous avons faites intentionnellement», a déclaré Bohannon, un journaliste dont le vrai prénom est John et qui est titulaire d'un doctorat en biologie moléculaire. "L'ensemble de ce domaine de la science est devenu corrompu par l’existence de normes [de qualité] vraiment pauvres entre les scientifiques et les journalistes."
Il expliqua au Washington Examiner que son intérêt pour le projet est né de son expérience personnelle : une publication qui avait laissé les reins de sa mère gravement endommagés. Bohannon commença à se demander combien d'autres études auraient échappé à une surveillance appropriée.
Jusqu’à quel point est-il facile de faire progresser de la science camelote sur le marché des idées? Un journaliste de la télévision allemande nommé Peter Onneken l’avait approché avec le moyen de le savoir. "Il y a des gens intelligents ici-bas qui se font berner par ce genre de choses parce qu'ils pensent que les scientifiques savent ce qu'ils font", déclara-t-il.
Opérant sous une fausse organisation appelée l'Institut de l'alimentation et de la santé (Institute of Diet and Health), Bohannon et ses collaborateurs contactèrent des vrais cobayes humains et réalisèrent des tests, mais, quand ils ont publié les résultats, ils ont falsifié délibérément certaines de leurs données. Omettant des détails cruciaux, ils rédigèrent des communiqués de presse habiles et convaincants, mais faux, et attendirent pour voir combien dans les médias remarqueraient les anomalies.
Personne ne le fit.
« Pas une seule personne n’a revérifié nos recherches, dit-il. Personne n'a cherché l’avis d'experts indépendants. Personne ne lui a posé des questions sur d'éventuelles inexactitudes dans son travail. Je suis choqué par la gravité de ce type de comportement ».
1. Science camelote et conspiration.
En ce qui concerne les inégalités, c’est en effet l’application massive des techniques de la science camelote, en l’espèce des statistiques. Mais avec un codicille, celui d’une alliance pour ne pas dire une conspiration d’un certain nombre d’économistes qui ont de façon évidente partie liée car ils ne cessent de se citer les uns et les autres, sans citer bien entendu les avis contraires.
Vous verrez en effet couramment se référençant mutuellement non seulement Thomas Piketty et Emmanuel Saez (ils étaient camarades à Normale avant de partir aux USA compléter leurs études , à l’instigation d’Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI, un parrain de la gauche aux USA), mais François Bourguignon, ancien économiste en chef de la Banque Mondiale et actuel président de l’Ecole Economique de Paris, que nous avons dénoncé dans les Profiteurs de l’Etat en 2001 pour avoir rapporté au Conseil d’Analyse Economique, créé par un conseiller de Jospin, que les prélèvements obligatoires aux USA étaient aussi élevés qu’en France, Anthony Atkinson et Anthony Shorrocks au Royaume-Uni,
Richard Wolff, Joseph Stiglitz et Paul Krugman aux USA, sans compter toutes les ramifications de l’Observatoire des Inégalités dont les membres sont situés aux points névralgiques de l’information économique française, notamment à Sciences Po qui est avec l’INSEE l’une des institutions publiques les plus gravement infectées (et dont le budget finance, pour plusieurs millions par an, l’OFCE).
Le thème central des égalitaristes a été repris récemment par l’OCDE et le FMI pour démontrer que les inégalités réduisent la croissance et qu’augmenter les prélèvements obligatoires n’affecte pas la croissance. Il est donc non seulement possible mais nécessaire de taxer les riches puisqu’en les taxant, on diminue les inégalités et on augmente la croissance, dont manque tant l’Occident .
Il ne faut pas être surpris de cette conjonction car la plupart des économistes appartiennent à la classe parlante, celle des professeurs et chercheurs et fonctionnaires nationaux ou internationaux dont les revenus proviennent des budgets publics ; ils ont intérêt à voir gonfler les prélèvements.
Mais pour les membres de la société civile à laquelle nous appartenons et pour les chômeurs encore davantage, c’est un drame car cette analyse complétement fausse a pour effet de paralyser la seule source d’augmentation de richesse et de création d’emplois qui est l’entreprenariat.
Comme nous allons maintenant le montrer, les riches ne sont pas ceux qui abusent de la société et prélèvent leur dîme par la rente mai bien ceux qui ont fait la richesse, notamment celle des USA et sorti de la misère des dizaines de millions de misérables en leur donnant le patrimoine le plus précieux : un emploi et sont devenus riches de surcroît.
I. La mesure des inégalités.
• Elle utilise deux repères fondamentaux, les revenus et les patrimoines
• Elle se fait à partir d’une courbe de distribution dite courbe de Lorenz ou toute la population est rangée par ordre croissant de revenu ou de patrimoine et les revenus (ou les patrimoines cumulés) de façon à pouvoir faire apparaître la part prise par les 10% ou le 1% ou le 0,1% supérieur.
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• Un indice couramment utilisé est l’indice dit de Gini qui mesure le rapport de la surface en rose au total de la surface du triangle. On voit en effet que ce rapport est égal à 0 si tout le monde a le même revenu (ou patrimoine) et à 1 si une seule personne perçoit ou possède tout.
II. La montée des inégalités.
• Les chiffre statistiques sur la montée des inégalités sont très discutables, car les égalitaristes mesurent toujours les inégalités c’est à –dire l’écart entre riches et pauvres, sans tenir compte des dispositifs votés par la totalité des pays de l’Ouest, précisément pour y remédier, et qui opèrent un transfert des plus riches vers les plus pauvres ( ou qui devrait car, en France, sous couvert de taxer les riches, c’est à plus de 90% un transfert de l’ensemble de la population vers la fonction publique).
• Pour montrer l’importance de cet écart, les indice de Gini des pays développés se situent autour de 0,5 lorsqu’on prend les revenus bruts sans tenir compte des impôts ni des aides sociales et tombe à 0,3 lorsqu’on prend le revenu disponible pour la consommation.
Lorsque l’INSEE publie les patrimoines des Français et s’indigne de ce que 1% en possède près de 30% alors que le décile inférieur en possède seulement 1ou 2%, c’est parce que les retraites publiques ont été omises du calcul alors qu’elles sont devenues le principal capital de la population. Et des calculs mêmes de l’INSEE, ces retraites représenteraient elles-mêmes, en capital accumulé, environ 10.000 milliards d’euros, autant que le patrimoine total sur lequel l’INSEE s’appuyait pour dénoncer cette inégalité.
• Mais il est pour nous certain qu’aux USA, la démocratie qui a vu son revenu ou revenu par tête augmenter le plus dans les 30 dernières années, les inégalités ont commencé à augmenter ers 1980 et se sont accrues jusqu’à la crise de 2008. Le patrimoine du 1% est ainsi passé de 30 à 33% du patrimoine total entre 1980 et 2010.
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III. Le miracle au bas de la courbe de Lorenz
T. Piketty et la plupart des personnes concernées par les inégalités sont généralement à sa recherche vers le haut de la courbe de Lorenz et la mesure par des indicateurs tels que le pourcentage de la richesse ou des revenus appartenant ou reçu par le fragment supérieur de la population, que ce soit 10, 1% ou de 0,1%.
Mais peu de considération a été donnée à la partie inférieure de la courbe de Lorentz, le quintile (20%) le plus bas.
Le SCF (Survey of Consumer Finances) est probablement la meilleure source de données, mais les courbes tracées par A.B. Kennickell du SCF suggèrent qu'il y a beaucoup d'incertitude sur le quintile du bas, que la seule certitude est qu'ils ont généralement une richesse négative (en raison des emprunts).
Les chiffres du Census montrent que, dans la période 1980-2010, environ 30 millions de personnes ont immigré aux États-Unis, la moitié d'entre eux pauvres, latino ou africains.
Mais 30 millions de personnes, cela est une moitié du quintile inférieur de la population des États-Unis (310 millions).
Ainsi, entre un quart et la moitié du quintile inférieur de revenu de la population des États-Unis a été remplacé par les immigrants dans cette période.
Néanmoins, quand on regarde le revenu quintile le plus bas en 2014 en dollars constants, tirées du Census, il a à peine bougé entre 1980 et 2010, passant d'une moyenne de 16,677 à 16,204. Un professeur du Cornell, Richard Burkhauser, a même pu montrer qu’il aurait en fait considérablement augmenté.
Et le taux de chômage aux États-Unis était d'environ 5% en 1970 et aussi en 2007, à la veille de la récession de 2008.
L’économie américaine a donc été en mesure de remplacer entre un quart et la moitié de son plus bas quintile de la population par les nouveaux immigrants, pauvres pour la plupart, sans voir une baisse des revenus de ce quintile.
Ce qui est arrivé est que les États-Unis créé durant cette période 50 millions de nouveaux emplois et ont pu donner aux immigrés des emplois, peut être mal payés, mais des emplois, la principale composante de la richesse.
Dans la même période, les États-Unis ont transformé le Japon d'un pays en développement en un pays développé en y injectant technologie et capital et ont commencé à faire de même avec la Chine.
• Mais qui ont créé ces 50 millions d’emplois ?
• Vraisemblablement les entrepreneurs américains qui, coïncidence, sont devenus riches en les créant. En effet…
IV. Qui sont réellement les riches américains ?
• Il est clair que milliardaires et le «1% ont» augmenté leur richesse, plus que proportionnellement à cette période.
Mais si l’on regarde qui sont les milliardaires américains de la série Forbes, 67% sont des entrepreneurs qui ont créé leur entreprise et sont devenus milliardaires grâce à ces entreprises.
• Si l’on compte non seulement ces milliardaires mais qu’on inclue leurs parents, on arrive à 90%
90% des milliardaires américains sont devenus riches par leurs entreprises.
Nous avons-nous-mêmes regardé une des sources les plus fiables mondialement qui est le SCF et découvert que l’augmentation de la part des fortunes du 1% était dû à 83% aux investissements industriels qu’ils ont faits, aux risque pris.
• Au passage, les égalitaristes ne considèrent jamais le prix du risque dans leurs calculs économiques et nos évaluations montrent qu’ils sont énormes : en moyenne, ceux qui investissent dans les entreprises perdent 6% de leur patrimoine par an, 4 fois le plafond de l’ISF. (ils compensent ces pertes par les créations lorsqu’on les laisse libres d’en créer)
V. Pourquoi le chômage en France.
• La réponse est simple : parce que nous ne créons plus d’entreprises en interdisant à ceux qui pourraient financer les créations d’entreprise de le faire et que les créateurs ne trouvent pas d’argent pour franchir la « vallée de la mort ».
• Dans le développement d’une entreprise, il y a 3 phases : la création, généralement financée par le créateur avec sa famille mais qui dépasse rarement plus de 100.000 euros ; le relai du financement des fonds de capital-risque mais qui ne démarre pas sérieusement avant 1 million ; et, entre les deux, la vallée de la mort lorsque l’entrepreneur se lance et est incapable de réunir les fonds qui lui permettent de passer de 100.000 au million.
• Ce passage st réalisé en Allemagne par les banques locales 4 fois plus nombreuses qu’en France et surtout beaucoup plus indépendantes et guidées par le Mittelstand. Dans les pays anglo-saxons, c’est le rôle des Business Angels mais des BA indépendants, ceux qui peuvent injecter chaque année seuls plus de 100.000 €.
• En France, Bercy a tout fait pour éviter leur émergence en allant jusqu’à favoriser le développement des BA dits de réseaux, dont le poids, dans pays anglo-saxons, ne dépasse pas quelques % parce qu’il faut se mettre à plusieurs dizaines pour réunir les 500.000 qu’un BA indépendant met tout seul et que se perd presque tout l’intérêt des BA.
• Sans aller jusqu’à affirmer que Bercy l’a fait intentionnellement pour se créer des postes de financement à la BPI ou multiplier les fonctionnaires qui vivent du chômage, il faut savoir que l’efficacité des investissements d’état, à travers des fonds comme l’ANVAR, OSEO ou la BPI, est environ 10 fois plus faible dans la période de démarrage des entreprise que ne le sont les Business Angels anglo-saxons.
• Une raison ignorée est que 70 à 80% des investisseurs dans les créations d’entreprise sont eux-mêmes des chefs d’entreprise, ayant le plus souvent créé leurs entreprises et ont le flair que ne peuvent avoir des fonctionnaires ou para fonctionnaires.
• Mais avec l’ISF, les limitations mises aux holdings animatrices, bref l’anti capitalisme manifesté par la DLF dont la quasi-totalité des membres n’ont aucune idée de ce qu’est une entreprise car sortant directement de l’ENA ou de la direction des impôts, nous avons tué la reproduction des entrepreneurs qui est l’une des clés de réussite des anglo-saxons.
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En conclusion,
La conjuration des égalitaristes a voulu nous faire croire que
les années 1980-2010 étaient des années d’opprobre parce que les inégalités avaient augmenté aux Etats-Unis notamment.
Ce sont au contraire les années qui ont vu
l’un des plus grands miracles économiques de l’histoire : la sortie de la misère de dizaines millions de personnes des pays sous-développés, grâce à la création de 50 millions d’emplois supplémentaires aux seuls USA.
Mais ce miracle n’a été possible que grâce aux entrepreneurs, ces individus qui ont créé le monde de demain par la combinaison de l’innovation et de la prise de risque.
Le plus grand trésor de notre temps est d’avoir un emploi. C’est l’emploi que cherchent les milliards d’humains vivant encore avec moins d’un dollar par jour, ce sont eux qui nous submergent par l’immigration ou par l’exportation des produits bons marchés, grâce à des salaires de misère, pour nous, mais des fortunes, pour eux.
Ils font disparaître nos emplois mais mettent à notre disposition dans les supermarchés des produits à prix cassés.
Le challenge auquel sont confrontés les pays de l’Ouest est de créer d’autres emplois, ceux qui n’existent pas encore mais seront l’univers de demain. Dans cette invention du monde de demain, les explorateurs sont les entrepreneurs car il n’y a pas d’innovation si l’innovation ne peut se concrétiser dans des entreprises.
Les pères de l’emploi sont les entrepreneurs, pas l’Etat.
En interdisant à ceux qui le pourraient de devenir riches et aux entrepreneurs de devenir plus riches encore, Bercy s’est servi de la lutte contre les inégalités comme d’une justification morale pour punir les riches mais ne fait que servir ses intérêts aux dépends de la France et, au premier chef, des chômeurs dont il est facile de prévoir, sans être décliniste, que le nombre ne pourra qu’augmenter.
Pierre Uri, le conseil fiscal de Mitterrand, a réussi en 1983 à changer l’impôt pour changer la France ; il est le père de l’IGF.
Notre challenge n’est plus seulement de défaire l’ISF mais de changer Bercy si nous voulons arrêter notre descente aux enfers.
1 commentaire(s)
Robot Bastiat
[…] mois, où il m’encourageait dans mon travail à l’iFRAP, rappelait les réunions du lundi avec Bernard Zimmern et tous les amis libéraux, me félicitait sur mon livre « On va dans le mur » et concluait […]